Il ne faut pas se laisser séduire par l’apparence de St-conseils.com. En effet, nous sommes désormais habitués aux plateformes dont l’apparence est tout ce qu’il y a de véridique. Cependant, leur objectif est loin d’être louable. Le but n’est que d’arnaquer, et c’est le cas de ce site. Pourquoi le pensons-nous ? Nous vous en donnons les preuves dans ce contenu.
Le piège des logos
St-conseils.com affiche des logos de réseaux sociaux, sans doute dans le but de rassurer le client. C’est un moyen de prouver que la société à laquelle il appartient a une véritable notoriété, ou à tout le moins qu’elle existe véritablement. Mais le souci, c’est qu’aucun des logos ne conduit vers les comptes de l’entreprise sur les sites communautaires. Ni le logo de Facebook ne conduit vers Facebook ni celui de Instagram vers Instagram. Dans ces conditions, il est clair que la plateforme est une pure fioriture, c’est un mensonge en entier.
St-conseils.com, l’usurpation d’identité consommée
Si l’on oublie le cadre des réseaux sociaux, on ne peut s’empêcher de remarquer que St-conseils.com ne mentionne pas de copyright. C’est très inhabituel, surtout sur les sites qui se disent fiables. En tout cas, c’est un indice qui prouve que la plateforme n’est pas ce qu’elle prétend être.
Par ailleurs, nous avons la conviction qu’elle fait de l’usurpation d’identité. Les éléments qui confortent sur cette piste sont nombreux. Il suffit de vérifier sur le site de l’Infogreffe pour s’en rendre compte. En le faisant, nous découvrons que St Conseils est une entreprise qui existe. Mais est-elle derrière St-conseils.com ? Nous ne le croyons pas :
- Le site n’indique pas le nom des dirigeants, ce qui n’est pas possible sur une plateforme dont l’entreprise propriétaire est enregistrée ;
- Le site avance que l’entreprise a été créée en 2007, mais en vérité St Conseils existe depuis 1995.
La piste de l’usurpation d’identité se confirme, puisque l’Autorité des marchés financiers a mis la plateforme St-conseils.com sur sa liste noire.
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“https://st-conseils.com/arnaque” j’ai perdu plus de 30.000 euros